mardi 31 octobre 2023

Novembre... réorganisation

Hé oui, après un peu plus de 5 ans de reprise des langues, et de reprise des études un séjour en Belgique, un séjour malheureusement écourté en Russie, des vacances germanophones en Autriche... je suis en train de réorganiser tout ça.

Novembre

C'est donc officiel, j'ai annoncé à ma responsable de master que je jetais l'éponge, et que pour raisons financières, je devais retourner travailler plus tôt que prévu. Ce qu'elle a parfaitement compris, en me disant " on ne peut pas nier que la réalité économique est.. une réalité".
J'ai donc repris contact avec la mairie pour annoncer ma décision de revenir avant le mois de juillet, j'ai fait la lettre recommandée, en précisant que je ne souhaitais pas reprendre à mon ancien poste.
J'ai appris que d'autres services, notamment le service culturel, recherche, et que vu mes compétences, je préfèrerais quelque chose qui soit dans mes cordes et ou par exemple mes compétences en langues soient utiles.
Le courrier est parti la semaine dernière, il faut écrire 3 mois avant la date de reprise envisagée, ce qui fait donc dans mon cas une possible reprise fin janvier, début février. Donc à peu près 6 mois avant la date prévue. J'attends qu'on m'appelle pour un entretien, pour voir ce qu'on me propose, et si c'est intéressant, je reprendrais à temps complet, si on ne me propose que de retourner à mon ancien poste, je me débrouillerai pour du temps partiel.

Pour le café des langues, j'ai aussi prévu de ne pas le relancer dans la forme précédentes. En effet, les gens très intéressés au départ, ne viennent plus, car ils ont toujours autre chose à faire.
Les français ne sont déjà pas une nation de gens particulièrement festifs, mais il faut reconnaître que depuis le covid, ils ont pris l'habitude de zoner sur le canapé, et les faire sortir de chez eux est très compliqué. Ce n'est pas seulement moi qui le constate, mais les restaurants, les cinémas, les salles de théâtres: les gens ne veulent plus sortir. Bon, tant pis pour eux.

De mon côté j'ai réactivé mon compte sur Tandem ces dernières semaines et j'ai sympathisé avec au moins deux personnes très motivées par le français, dont une américaine super sympa qui vient souvent en France. Donc voilà quelqu'un qui sort de chez elle, et je lui ferai donc visiter ma ville quand elle viendra le mois prochain.
qui dit automne et USA, dit Halloween et Great Pumpkin

Tant que je n'ai pas de planning de travail, vu que j'ai déposé des candidatures pour des emplois ponctuels, j'aurais du mal à avoir une organisation précise, mais, donc au niveau des langues:
- Le russe: là, il y a toujours la formation en traduction et mon cours hebdomadaire, mais en ayant lâché l'affaire avec la fac, j'ai enfin le temps de réviser le vocabulaire et de retrouver des gens avec qui discuter,  l'écrit ou à l'oral.
- l'anglais: si je postule au service disons des relations internationales ou au jumelage, forcément.. je suis donc en train d'approfondir le vocabulaire familier, de réviser les verbes à particule et les expressions imagées. Et rien qu'en écoutant mes CD ou en surfant sur le net, ben... je suis en contact avec la langue tous les jours.
- l'allemand: pareil, à entretenir, je vais donc éplucher en détail les journaux que j'avais ramené d'Autriche et lister les expressions intéressantes.
- l'espagnol: encore quelque chose qui peut être intéressant à mettre en avant pour un job, bien que dans ma ville, ce soit surtout l'italien qui est recherché. Mais il y a 2 villes espagnoles jumelées avec Avignon. Et j'ai croisé mon ancien prof qui m'a parlé d'un groupe de conversation les mardi soir. J'ai une activité sportive, mais si je peux y passer une demie-heure avant d'aller faire de la danse, pourquoi pas? Je vais essayer de le réactiver un peu cet hiver.

Je pense que l'allemand et l'espagnol vont en fait alterner par sessions, reste à voir à quel rythme.

Autres: le géorgien est toujours mis en pause, et j'aimerais bien reprendre un peu, à l'occasion les bases de japonais que j'avais mises de côté. Je garde aussi en tête un réveil du latin et du grec anciens.

Et le reste: Ben la musique et la danse, ça, ça ne change pas,  j'aurais moins le temps de faire de longues marches quotidiennes, mais comme j'allais déjà travailler à vélo ou a pieds selon les jours et la météo, bon, on va dire que je ne manquerai pas non plus d'activité physique. Et le musique, à mois de gérer, et de faire le maximum possible ces 3 mois à venir, histoire de progresser autant que je le peux.


Mais je me suis aussi fixé un mini défi, parce que j'ai eu l'occasion ces jours ci d'acheter des CDs. Oui, je suis de la vieille école, celle des gens qui préfèrent avoir un support physique. Parce que le streaming, c'est pas mal mais: on n'a pas toujours un accès internet. On n'a pas toujours une connexion stable. Selon les pays, les accès peuvent être bloqués.
Et puis j'aime avoir le support parce que c'est bien beau d'avoir une discothèque dématérialisée sur Spotify, Deezer ou autres, mais.. que les conditions d'utilisation du site changent ( et voyez ce qui s'est passé avec Twitter) Ben.. les utilisateurs risquent de perdre leur discothèque, de devoir la racheter.
J'aime bien aussi le côté créatif du support ( c'était encore plus le cas avec les vinyles qui avaient une plus grande surface): parce qu'il y a possibilité d'avoir une pochette travaillée, parce que certains disques sont conçus pour être écoutés du début à la fin comme un tout cohérent et n'ont plus de sens une fois découpés en tranches. Parce que parfois, la piste qu'on n'aimait pas aux premières écoutes devient celle qu'on préfère par la suite une fois " apprivoisée", or si on n'achète d'emblée que les pistes qu'on aime, ben.. on passe à côté d'autres choses, dont la cohérence interne du disque et l'aspect esthétique des pochettes. En plus le format calibré pour le streaming va de plus en plus vers des pistes courtes: de 3'30'' il ya quelques années on est maintenant plutôt vers des morceaux de moins de 3'00, qui n'ont pas le temps de développer un propos une identité musicale.. et ça standardise encore un peu plus ce qui est déjà d'une grande banalité.
Moi j'aime le rock prog et les pistes de plus de 10', voire de carrément une demie heure.
Mais revenons au défi: j'ai pas mal de disques chez moi. Que je n'ai pas écoutés depuis mes déménagements successifs, il y a donc des choses à découvrir, redécouvrir, approfondir. Je vais donc tenter de me fixer 3 disques par semaine en écoute intégrale ( ce que j'ai fait l'an dernier pour découvrir ELO). Si je compte 2 semaines d'absence ou de flemme ou de maladie, ça fait 150 disques dans l'année, c'est jouable.
Et ça commencer dès cette semaine, parce que j'ai commandé la réédition deluxe de Diamonds & Pearls ( hop, on va écouter de l'anglais), album qui est un souvenir d'adolescence pour moi, et qu'il y a 7 disques, et un blu-ray ( celui là attendra que je trouve un matos de lecture en occase). Après je piocherai dans ma discothèque physique ou mp3. Comme je n'ai pas de TV, je peux sans problème passer la soirée à écouter des disques ou des podcasts.
 

Après selon la date exacte de reprise du travail, j'ai bien envie de prendre quelques jours de vacances un peu avant, je ne suis plus partie depuis l'été 2022, il doit y avoir un moyen de se faire quelques vacances pas trop chères. Peut être justement en Espagne, tiens, ou aller voir ma copine de Leipzig? Ou retourner à Vienne puisque maintenant j'ai aussi une copine là-bas? Rome me tente aussi depuis longtemps. Retourner voir des potes à Bruxelles, aller aux Pays-bas, ou en Angleterre? Après à plus long terme, il y a toujours la nouvelle-Orléans qui est dans les projets, mais là, c'est plus le même budget. En janvier, il doit y avoir possibilité de dégotter quelque chose de pas mal.

jeudi 5 octobre 2023

Octobre... réorganisation et coûts irrécupérables.

 Après un mois de septembre fortement marqué par les tuiles... car le boulot que j'avais trouvé s'est fini pendant la période d'essai: le magasin a été racheté et va fermer, donc, licenciement d'abord des employés en période d'essai, et probablement des autres ensuite.
Pannes et frais divers ( chauffe-eau, téléphone, porte du garage, batterie de la voiture, et maintenant une fuite dans la salle de bain..), entretiens d'embauche où on me fait miroiter plusieurs mois de contrat pour me licencier au bout de 3 semaines et 5 jours ou.. ne jamais me rappeler.

Je vous avoue que trop c'est trop, et le compte en banque fait vraiment la gueule. Je risque d'être contrainte de retourner plus vite que prévu à mon ennuyeux travail de gratte-papier. Psychologiquement, c'est éprouvant de se dire " ça fait 5 ans que je cherche à changer ma vie, que je me démène pour ça, et que j'en suis au même point qu'il y a 5 ans, mais avec beaucoup moins de sous"

Ce qui veut dire que je ne pourrai pas mener de front tout ce que je fais.. et vu le peu d'intérêt de ce master, où je  fais tout, sauf du russe, je n'ai clairement plus envie de le mener à bien.
Il me reste plusieurs matières inintéressantes et le mémoire, or même le sujet que j'avais choisi ne parvient plus à me motiver, surtout face aux difficultés financières. J'en suis au point où tout me motive SAUF ce qui est en lien avec l'université. Ils m'ont usée jusqu'à la corde avec les pinailleries administratives et j'ai vraiment l'impression de tourner dans une roue de hamster qui ne me mènera qu'à l'épuisement mental. Donc je préfère agir avant d'en arriver au burn-out.

Donc je suis sérieusement en train de penser à ne pas le terminer. Je n'y suis entrée QUE pour pouvoir partir en échange à Saint Pétersbourg, ce qui a été le fiasco que l'on sait. Pour le reste...je n'ai pas franchement d'intérêt pour le master lui même, il me fait perdre du temps plutôt qu'autre chose, et donc n'est clairement plus une priorité. Des frais de santé non remboursables risquent de se rajouter dans les mois qui viennent. J'ai commencé une formation en traduction que je n'arrive pas à avancer à cause de la surcharge mentale causée par ce master qui ne correspond plus à ce que j'en attendais (et mes camarades de promo sont dans le même cas, surtout ceux qui ont comme moi repris des études avec des attentes précises)

Ce n'est pas la langue le problème, mais bien le fait que justement je n'en fasse quasiment plus qui me pèse terriblement.

Donc il y a projet, ce mois ci de voir:
- si je peux trouver un poste territorial plus intéressant que celui que j'avais.
- Sinon, de revenir à mon ancien job, à temps partiel, afin de pouvoir à la fois gagner quelques sous et faire plus sereinement ce qui est lié à la traduction.
- Revenir aux langues, eut-être sous forme de stages, à distance avec l'université de Saint-Pétersbourg ( ça c'était génial), avant de pouvoir envisager  d'y retourner vraiment.
- Diversifier, vu la difficulté qu'il y a en ce moment à utiliser le russe, en remettant un peu plus d'allemand et / ou d'anglais dans mon quotidien.
- Et garder les activités ( qui coûtent aussi des sous!) que sont la danse, la musique.. et plus généralement il y a quelques disques que j'aimerais acheter depuis parfois des années.. en devant économiser. Ca aussi c'est relativement pénible, je ne vaux pas non plus acheter des choses hors de prix, mais c'est le genre de petit plaisir que je dois repousser.
- Rembourser mes dettes ( auprès de ma mère, mais bon, j'espérais le faire avec le job qui m'a lâchée)

Et selon le cas d'envoyer bouler le master.

alors oui, j'ai eu des " tu ne vas pas arrêter maintenant, tu y a passé 5 ans, c'est la dernière année, il ne te reste plus que quelques matières à faire, et tu y as investi beaucoup d'argent". Oui, les plus longues, les plus relou, les plus compliquées.
Alors oui, j'ai beaucoup parlé de sous jusque là. Mais il n'y a pas que ça: est-ce que ça vaut vraiment le coup de passer encore un an à me forcer à faire quelque chose qui ne m'intéresse plus, sans avoir l'assurance que le papier obtenu au bout ne m'apporte réellement quelque chose ( puisque cette 2° année de master mène à préparer l'entrée en doctorat, que je n'ai aucune envie de faire de toute façon). Ou repartir faire quelque chose qui ne m'intéresse pas non plus, mais qui au moins me permet de retrouver un poil d'indépendance financière, à défaut de tout de suite pouvoir faire vraiment ce que je peux.
Je vous renvoie à cette vidéo qui me paraît très importante à connaitre lorsqu'il s'agit de prendre ce genre de décision.
Les coûts irrécupérables, ici il parle d'argent, mais pour moi, ça fonctionne aussi avec le temps et l'investissement personnel, qui sont encore plus précieux que la monnaie. Si j'en suis ce raisonnement, rationnel, mon intérêt est de ne pas insister avec quelque chose qui ne correspond pas , ou plus à mes attentes, et à chercher d'autres solutions.


Il n'y a pas de honte à l'avouer. Ce n'est pas un constat d'échec personnel.
Juste celui que le système universitaire français qui essaye de faire des économies de bout de chandelle en mélangeant plusieurs filières pour faire des économies, produit un résultat de bric et de broc qui n'est satisfaisant ni pour les étudiants des différentes filières, ni pour les professeurs, et est complètement déconnecté de la réalité.
Ceux qui apprennent les langues, c'est en général pour être profs de langue, faire de la traduction, travailler dans le tourisme, ou le commerce.... rarement avec l'objectif de devenir prof chercheur dans un domaine ultra spécialisé et .. reproduire ce schéma, de donner des cours ultra spécialisés qui ne seront pas utiles sauf à ceux qui veulent devenir profs chercheurs et ainsi de suite.

Ca évolue en vase clos, totalement hors de la réalité. Et j'en suis persuadée, cette vision élitiste et intellectualiste des études va droit dans le mur, car elle ne s'adresse finalement qu'à un minuscule pourcentage de gens. Je m'éclate à parler les langues, à connaître les gens qui les parles et leur culture,  pas à étudier en détail un point de grammaire ultra méga précis.
Tellement en vase clos en fait que malgré les difficultés concernant la Russie depuis 2 ans, une des matières, consistant à faire des interviews de francophones qui travailler en Russie et de russophones qui travaillent en pays francophone ( dans le même domaine, et si possible, il faut que chaque personne ait bossé dans ce domaine, dans les deux pays, pour confronter leurs points de vue). Cette matière n'a absolument pas été adaptée à la situation et ne varie pas depuis plus de 10 ans, malgré la quasi impossibilité de trouver maintenant des francophones qui vivent et travaillent en Russie.
Dans le milieu qui m'intéresse: traduction/ édition, la réponse est toujours " les éditeurs qui faisaient notamment des traductions depuis les langues étrangères sont partis, on ne sait pas où ils sont, peut être en Turquie ou ailleurs".

Ce qui prouve bien que ce programme n'a aucune réactivité, n'est pas en phase avec le monde tel qu'il est. C'est vraiment un des principaux problèmes. Le monde change... mais quelque chose qui justement devrait en prendre note ne le fait absolument pas et continue de vivre dans sa tour d'ivoire.
Et en attendant mon problème à moi est ultra concret et en phase avec la réalité: comment trouver des gens à interroger? Que leur demander de pertinent quand leur vie est passée en deux semaines de normale à complètement chaotique?
Et comment moi, payer mon loyer et financer les réparations de l'appartement sans gréver trop le budget de ma mère, ou vivre à ses crochets, dans un monde qui est lui aussi au bord du chaos?


EDIT du 14/10: j'ai pris ma décision, et j'ai annoncé à ma responsable de mémoire que vu la situation, ma priorité était du côté du travail, et que je n'allais pas pouvoir faire tout en même temps, donc, c'est officiel, j'arrête, du moins momentanément, au niveau de l'université. Il y a dans ma ville un master de traduction et interprétariat, mais apparemment, il se fait sur la base de l'anglais.
J'ai un bon niveau conversationnel, mais je n'ai jamais appris l'anglais de manière "scolaire", donc je me renseignerait de ce côté pour voir si je peux terminer les crédits manquants dans cette orientation.

vendredi 15 septembre 2023

La reprise

 Et la confession: oui, cet été en matière de langues, ça a été à très petite vitesse.
La canicule, comme toujours, me ratatine Et ça n'en finit toujours pas mi-septembre, on a encore les ventilateurs la nuit.
Et depuis mi août, les tuiles s'enchaînent, du genre qui coûtent des sous et prennent du temps: téléphone à changer, chauffe - eau à changer, chaudière à changer, portail de garage qui ne ferme plus. Certes pour tout ce qui est lié, c'est au propriétaire de payer, mais c'est à moi d'être là au moment des travaux...

Mais aussi, après 5 ans de reprises d'études et les difficulté administratives, la nécessité de devoir faire mon année de M2 sur 2 ans, le fait de ne plus en voir la fin.. la motivation est un peu en berne. Surtout avec la sensation que ce que je fais n'a finalement pas beaucoup de sens dans le monde actuel: moi, la traduction depuis le russe m'intéresse, la langue et la culture des pays russophones m'intéressent, mais à cause de la politique et du boycott de tout ce qui est russe ( moins fort qu'en 2022 il est vrai), les éditeurs sont de plus en plus frileux à l'idée de faire traduire des ouvrages qui risquent de ne pas se vendre.

Finalement cet été, ça a presque été stage d'anglais ( via la musique) et stage de musique.
Si, pour le russe, j'avance quand même un peu avec mes traductions et mon déblayage de sources pour le mémoire.

Et ça ne va pas s'arranger: j'ai passé l'été à prospecter pour du travail, et enfin, mi août, j'en ai décroché un. 25h / semaine, rien de bien funky, c'est juste un job en supérette, mais qui a l'avantage d'avoir des horaires fixes, très tôt le mardi et mercredi (mais ça me laisse les après midis libres), et le reste réparti entre le samedi après midi et le dimanche matin.

Autant dire que moi qui espérais pouvoir partir en vacances en septembre, c'est foutu. Pas de vacances avant l'été prochain, voire, celui d'après, si je dois reprendre mon travail à la mairie au 1° juillet 2024.

Ceci dit, il y a quelques projets à moyen terme, je l'avais dit: une copine veut aller à Hawaii, moi à la Nouvelle-Orléans et en Alaska, donc il faut
1- des sous
2- des vacances
3 - maintenir un niveau d'anglais satisfaisant.

Ca c'est plutôt à l'horizon 2025 ou 2026 quand même. Ce qui vu que je prévois de travailler à temps partiel ne sera pas de trop pour mettre du budget de côté.

Je n'ai jamais été franchement attirée par les états Unis à l'exception d'UNE chose.
Ca.
Que je meurs d'envie de faire.
https://www.tourlane.fr/amerique-du-nord/etats-unis/route-du-blues-autotour/

Mais pas en voiture. Et en sachant que mon pote de Saint-Louis déménage à Des Moines et qu'il faut quand même que j'aille faire un tour à Minneapolis (Funk) et à Detroit ( Soul). Donc ça, mais avec quelques zig-zags en plus, sur au moins 3 mois et en calant un maximum de festivals.
Pourquoi j'ai pas un tonton à héritage, moi!

Mais bon, voilà, les priorités de la rentrée sont le travail, pour payer ma part de loyer d'abord, et ensuite financer mes vices: musique, chant, danse...) et ce qui est lié à mes études.
En essayant de mettre quelques sous de côté pour soigner ma maladie, la bougeotte chronique, il n' y a que les voyages pour améliorer cet état :D

Et pour le reste, je garde un peu d'allemand, tant bien que mal, les 3 matins où je ne travaille pas et, tant pis, je mets le géorgien en pause plus longtemps que prévu, probablement jusqu'à la fin de l'année scolaire. Pareil pour la reprise de l'espagnol.
Ca me plaît beaucoup, mais, on ne peut hélas pas tout faire en même temps: le travail, les études, le formation de traduction, 3 langues, de la musique, de la danse, du chant, et la vie quotidienne. Je ne suis hélas pas une petite dormeuse, ce qui me permettrait d'être en forme avec 4 ou 5 heures de sommeil par nuit, et d'avoir du temps pour le reste. Je ne veux pas non plus devoir avoir un planning tiré au cordeau, arrangé comme un plan quinquennal soviétique.

Je vais déjà tenter de mener à bon port la conclusion du master, et après, qui vivra verra. Ce ne sont pas les projets qui manquent, mais le temps pour les mener à bien.

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Novembre... réorganisation

Hé oui, après un peu plus de 5 ans de reprise des langues, et de reprise des études un séjour en Belgique, un séjour malheureusement écourté...